Roaix
Petit historique
Cité en 1137 "Roais"
On peut admettre qu'avant les Templiers ce n'était qu'une simple terre de l'évêque de Vaison et autres possesseurs. Une commanderie templière, fondée en 1137, fut à l'origine du village. Clément VII inféoda le domaine de la maison de *Vaesc ou (Vesc) qui obtint ultérieurement confirmation par Paul IV. Les Vaesc acquirent peut-être progressivement toutes les parts, pour devenir seigneurs uniques. Ils étaient toujours présents à la Révolution.
Roaix qui a connut les horreurs de la peste en 1629, fit élever après l'épidémie une chapelle en l'honneur de Saint-Roch, aujourd'hui pratiquement inexistante.
Joli village étagé.
La partie historique de Roaix est située sur la partie haute du vieux village.
Le village est dominé par son église et son château.
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Sur la route en allant dans le vieux village, vous verrez sur la droite cette plaque.
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L’église paroissiale primitive, par suite de sa vétusté, fut rasée le 28 septembre 1735. Les travaux de construction de la nouvelle, dont le contrat avait été passé en 1734, débutèrent le 23 février 1736. Elle fut bénite le 17 juillet sous le titre de l'Assomption. Le Pape Clément XII favorisa cette entreprise par des dons importants.
Cette plaque se trouve sur la place de l'église
Face à l'église
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Ruelles
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La rue porte bien son nom.
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Bas du village, la route principale.
Il y à très peu de commerces dans le village. Toute l'activité de Roaix se passe en bas du village.
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La mairie se trouve sur la gauche. Etonnant les arbres sont restés.
Fontaine sur la place de la mairie
Fontaine tout proche de la mairie.
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Groupe scolaire René Jouvent
Ecole maternelle et primaire. Pas de collège à Roaix
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L'Ouvèze
Reste d'un pan de mur qui était un pont qui s'est écroulé après un violent orage en aval de Vaison la Romaine le 22 septembre 1992.
La prise de vue était réalisée de l'autre côté de la rive
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De gueules à la fasce d'argent chargée de quatre colonnes de sable, accompagnée de deux étoiles d'or.
* François de Vaesc, Seigneur de Roaix a voulu être enterré assis sur son fauteuil dans le caveau familial. Cité par Robert Bailly, indique que par un petit trou de la dalle funéraire, en descendant une bougie, on peut voir la cage thoracique du défunt et les restes de son fauteuil. Il est précisé que la date de son décès a été enlevée par un maçon qui, au passage, lui a subtilisé les boucles d'argent de ses chaussures.
Sources de l'article:
- Guide complet des communes de Vaucluse de Michel de la Torre.
- Dictionnaire des communes de Robert Bailly
- Site officiel de Roaix